Le confinement de Marie

Bonjour,

Confinée à Suresnes, je me dégourdis les jambes en arpentant les pentes du Mont Valérien.
Les côtes y sont sévères, mais les jardins nombreux.
Il reste quelques vieux poiriers énormes qui ont été respectés et aussi j’ai vu des palmiers.
J’ai rencontré aussi un arbuste à petites fleurs très odorantes dont j’oublie toujours le nom.

Je vais tenter un envoi de photos.
Dans ce domaine je ne peux pas rivaliser avec les pros !

       

      
Mais si Marie… cela a marché !

Je pense à vous qui profitez de ce beau printemps et souhaite que très bientôt je pourrai être confinée dehors !

Marie Lamirault

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